• La médiocrité qui saigne -

    Dégoulinante d'amour,
    le monde ne voit plus tes yeux.
    La parfaite inconnue encerclée,
    tu ouvres la bouche pour dire pardon.
    Oublie que le ciel en colère l'aime,
    tu sens la fumée de cette nuit.
    Sous ses bras joints,
    tu cours vers le bonheur.
    Coule la rivière des souvenirs.
    Tu ne les trouvent pas.
    Dans sa main blanche d'ébène,
    se reflète ta mélancolie,
    s'alignent les joyaux du printemps.
    Ferme la fenêtre de ta main.
    Poème grave,
    pour un amour d'été.
    Ils te trompent tout les cinq,
    caressés par la brise.
    Tu restes alors,
    incomprise par la vie,
    et la tristesse salée.
    Tu dois partir,
    mais tu ne veux pas.
    Ton maillot de bain rayé.
    La volonté s'acquiert le long de ta pensée.
    Ton décollement de racines.
    Prend ton envol comme un oiseau.
    Rien ne l’empêchera de partir,
    de migrer le long des chemins de pierre.
    Il t'aime.
    Tu la voie,
    la lumière au fond ?
    Mais le vent est plus fort.
    C'est juste une nouvelle ère,
    qui s'ouvre pour toi,
    mon ange.
    Salsa & Garce -

  • Commentaires

    1
    KBKYou'
    Lundi 24 Mars 2014 à 20:04
    Magnifiques ecrits, je ne comprend pas grand chose mais vos textes me touchent vous avez un don, vous etes incroyables: de vraies artistes ♡
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